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5 avril 2012 4 05 /04 /avril /2012 20:53

ET BRAVO AU "PROGRES" DE CITER LE NOM D'UN DES GARDES A VUE, alors que beaucoup de criminels n'ont pas cette honneur lors de leur arrestation. Quelle honte...

Honte à vous surtout, fachos menteurs, lâches et traitres à la patrie républicaine, auteurs de nombreuses agressions depuis des mois à Lyon et Villeurbanne, plusieurs fois contre des femmes... alors que les militants du PG ne se sont jamais livrés à aucune violence. En revanche, ils multiplient les réunions et actions d'information contre l'extrême-droite, ce qui doit en gêner plus d'un.

Et que vient faire la photo d'un meeting de J-L Mélenchon en accompagnement de ce fait divers ? Belle besogne que celle du "Progrès"...

RESISTANCE ! Rien ne fera dévier le Front de Gauche de la victoire historique qui s'annonce contre le FN et ses sbires néofascistes.

 

LE PROGRES - Aujourd'hui à 10h25

Un coresponsable des jeunes du Front de gauche en garde à vue à Lyon après des échauffourées

Un coresponsable des jeunes du Front de gauche et deux de ses militants sont en garde à vue à Lyon depuis mercredi, mis en cause après des échauffourées qui ont eu lieu à proximité de l'Université Lyon III, a-t-on appris jeudi auprès de la police et de responsables du parti.
Un coresponsable des jeunes du Front de gauche et deux de ses militants sont en garde à vue à Lyon depuis mercredi, mis en cause après des échauffourées qui ont eu lieu à proximité de l'Université Lyon III, a-t-on appris jeudi auprès de la police et de responsables du parti. ( © AFP Alain Jocard)

LYON (AFP) - Un coresponsable des jeunes du Front de gauche et deux de ses militants sont en garde à vue à Lyon depuis mercredi, mis en cause après des échauffourées qui ont eu lieu à proximité de l'Université Lyon III, a-t-on appris jeudi auprès de la police et de responsables du parti.

D'après la police, une distribution de tracts par ces militants a mal tourné, devant cette université connue pour l'engagement de certains de ses étudiants à l'extrême droite.

Selon la police, des militants d'extrême droite ayant refusé ces tracts ont été rejoints dans un bar par des membres du Front de gauche, le visage masqué, qui les auraient frappés avec des chaises et des manches de drapeau.

La police, appelée sur les lieux, a interpellé les auteurs sur la foi du témoignage des victimes.

Mais selon des responsables du Front de gauche du Rhône, les trois militants placés en garde à vue, dont Andrea Kotarac, coresponsable des jeunes du parti, n'avaient pas été mêlés à cet affrontement.

"Andrea Kotarac se disait inquiet depuis quelques temps, il se savait suivi et menacé par l'extrême droite", a déclaré à l'AFP Elisa Martin, conseillère régionale, qui met en doute les témoignages des "soi-disant victimes".

Le Front de gauche avait tenu mercredi en début d'après-midi une "assemblée citoyenne" devant l'université sur le thème de la lutte contre les thèses d'extrême droite. Ses participants ont fait l'objet d'un contrôle d'identité après les violences ayant eu lieu à proximité, rapporte le parti. Cinq ont été arrêtés, dont trois ont été placés en garde à vue pour ces violences.

© 2012 AFP

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